Vers une démocratisation des interfaces conversationnelles

Plus faciles, plus rapides… les interfaces conversationnelles se généralisent et transforment la relation client.

En 1968, Stanley Kubrick avait imaginé une machine alors bien utopiste, Hal 9000, dans son film d’anticipation 2001, l’Odyssée de l’espace. Une machine à laquelle les protagonistes pouvaient parler et qui leur répondait. Ca nous rappelle quelque chose… Le réalisateur de génie, mort il y a dix ans, n’aura pas donc vu sa chimère prendre forme avec l’avènement des interfaces conversationnelles.

De plus en plus performants

Plus besoin de taper sur la touche dièse, puis le deuc, puis deux fois étoile afin d’avoir la chance de parler à un conseiller. Désormais, il suffit de parler au chatbot, capable de comprendre plusieurs langues, des accents différents, des noms écorchés… Des chatbots toujours plus perfectionnés, qui se nourrissent des progrès constants de la technologie. Hier, ils se contentaient d’égrener des horaires d’ouverture, aujourd’hui, ils sont capables, comme le Phonebot de Newtech de distribuer les appels de façon équitable dans un service d’une clinique ou de déceler les émotions dans la voix. Pratique tout de même de passer une commande, tout en cuisinant, en regardant la télévision ou en conduisant ou facile de dicter un texto.

Pour tous les terminaux

Dans une récente étude menée par PWC en 2018, 72 % des sondés avaient déjà été en relation avec ce genre d’interface, dont 57% via leur smartphone. Et c’est en passe de se généraliser. Newtech propose une interface conversationnelle pour tous types de terminal.