Le monde post-covid : vers plus de sédentarité ?

Cette crise sanitaire nous a obligés à travailler de chez nous, à faire nos courses depuis notre canapé… finalement on y a pris goût. En cette période du Home Sweet Home, le télétravail et le e-commerce sortent leur épingle du jeu.

Si les contours de ce qu’on appelle le monde d’après, c’est à dire le monde post-covid, restent flous, deux grandes tendances semblent d’ores et déjà se dessiner. D’abord, le recours plus largement au télétravail. Le groupe automobile PSA, notamment, s’apprête à mettre 80 000 employés hors production au télétravail de façon permanente. Et ce n’est pas le seul. Bon nombre d’entreprises envisagent de faire perdurer ce modèle, éprouvé pendant la crise. La nécessité d’avoir de plus en plus des solutions SVI bénéficiant d’un interface intuitive, et qui n’a besoin ni de logiciel, ni de téléchargement, ni de quelconque mise à jour peut se faire ressentir. Ce que propose Newtech, expert en solutions télécom depuis plus de 20 ans.

L’achat sur Internet prêt à supplanter la vente physique !

Ensuite, peu à peu se développe une autre façon de consommer : le e-commerce. Même les plus réfractaires, pendant le confinement, ont du s’y résoudre. Selon le baromètre Contentsquare, le trafic sur les sites des supermarchés a augmenté de 150%, ceux proposant de l’équipement de sport, de 41,5%, ceux des banques et assurances comme Gras Savoye de 17,8 %. En revanche les secteurs bijoux, luxe, tourisme ont vu ce chiffre baisser. L’équipementier de pièces détachées de moto, 3AS Racing, quant à lui se réjouit de ses excellents chiffres de vente.

Cette habitude de pianoter sur son ordinateur pour trouver l’objet de ses rêves devrait s’installer durablement. Une étude réalisée par Kantar par Detail Online, société d’audit spécialisée dans l’e-commerce ( Mars 2020 / 3162 personnes habitant en France, en Allemagne et en Grande Bretagne), environ 80% des personnes interrogées affirment qu’elles recommenceront à effectuer des achats dits « non-essentiels » en ligne en 2020. Parmi celles-ci, 50% à 60% déclarent qu’elles dépenseront dans le vestimentaire ( Sarenza, Des marques et vous…) et dans l’électroménager.